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Adaline Tamzin
ADMINthe angry kitten

Adaline Tamzin

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MessageSujet: ( turns you into stone )   ( turns you into stone ) EmptySam 24 Fév - 16:23

Adaline Tamzin
sonequa martin-green



ÂGE : trente ans et le passage à une nouvelle dizaine ne s'est pas fait une bonne crise de panique. NAISSANCE : 05/24/1988 un jour gris comme un autre à Vancouver à cette période de l'année. METIER : agent de terrain ou bien spécialiste, comme on aime à le dire, au shield. STATUT CIVIL : mariée à un agent des communications. ils se sont dit oui lors d'une petite cérémonie, juste eux et quelques amis. ALLEGEANCE : SHIELD depuis de longues années maintenant et il nous lui viendrait pas à l'idée d'en changer.
PSEUDO, PRENOM : BLINDNESS, manon (oui vas-y) ÂGE : twenty two, going twenty three PAYS : france, triple hélas ACTIVITE : connexion 7j/7, rp au moins deux fois par semaines INVENTE, PRE-LIEN : inventé  ( turns you into stone ) 2036805639  CREDITS : les gifs ont été trouvés sur le tumblr sashawilliams UN MOT : glamorous (c'est gratuit, je vous l'offre)  ( turns you into stone ) 4146912018

Interrogatoire
SHIELD

Depuis quand êtes-vous au SHIELD ? J'ai été approchée deux ans après avoir débuté la fac, j'en avais vingt-deux, je crois. Après quatre ans à l'académie, je suis devenue une agent, c'est ça. Je suis donc encore dans le bas de l'échelle, en quelque sorte.

Comment, et pourquoi, avez-vous rejoint le SHIELD ? D'abord la question facile : le SHIELD me proposait des perspectives que je n'avais encore jamais envisagé. J'avais déjà lu des livres de science-fiction, feuilleté quelques comics alors forcément, quand on m'a parlé de la possibilité de vivre la même chose que les héros de mon enfance, j'ai tout de suite moins réfléchi. Je crois aussi qu'une partie de moi était très flattée d'apprendre qu'une organisation secrète pouvait vouloir de moi dans leurs rangs - vous savez, l'égo tout ça. Quant au comment, eh bien, par celui qui est devenu mon époux. Il était sur la fin de ses années en tant que cadet, toujours plus ou moins rattaché à son S.O. Il m'a repérée, je n'ai jamais réussi à lui faire dire où, ou quand, et à fait remonter l'info auprès d'un ami de son S.O qui n'avait plus eu de cadet depuis plusieurs années.

Quelles sont vos compétences ? En tant que spécialiste, je suis évidemment une habituée du corps à corps. J'admets avoir un style plus proche des arts martiaux en provenant d'Asie ou d'Amérique latine même si je suis censée tous les maîtriser (ou presque). Et comme il faisait des options pour valider l'année, j'ai choisi le tir de précision en première option. Ou sniper pour ceux qui préfèrent. Peu importe l'arme que je tiens entre les mains, ma balle trouvera toujours sa cible - c'est ce qu'il se disait à mon sujet à l'académie mais les rumeurs vont vite et sont souvent exagérées. J'ai les bases en pilotage mais, entre nous, je suis incapable d’atterrir correctement, amerrir encore moins et mes décollages sont souvent catastrophiques. J'ai également suivi une formation pour l'infiltration, de façon très évidente et certains disent que je suis crédible peu importe le rôle qui m'est donné. Au moins, j'ai une carrière dans le cinéma si je venais à me lasser du SHIELD.

Êtes-vous au courant pour le terrigène ? Quelles sont vos impressions à ce propos ? Ce que je sais à propos du terrigène, c'est ce que mes supérieurs m'ont dévoilé à ce propos et c'est mince. Je sais qu'il s'agit d'une sorte de brouillard, je sais que ça a des effets imprévisibles sur ceux qui sont en contact avec, je sais que le SHIELD souhaite mettre la main dessus. Mais mes informations s'arrêtent-là. Du coup, je ne suis pas certaine qu'on puisse parler d'impressions - si le SHIELD veut s'en emparer, c'est sans doute que c'est dangereux, en témoignent les cadavres parfois retrouvés. En dehors de ça, j'attendrai d'en savoir un peu davantage pour me faire une véritable idée.

Êtes-vous déjà allé sur le terrain ? Si non : souhaiteriez-vous vous y rendrez ? Je suis formée pour le travail de terrain depuis l'académie, je m'y rends donc depuis autant de temps. On ne peut donc pas dire que j'ai envie de m'y rendre même si j'adore l'adrénaline ressentie lorsque j'y suis.
Adaline Tamzin
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MessageSujet: Re: ( turns you into stone )   ( turns you into stone ) EmptySam 24 Fév - 16:23

The story of me
hold on to me


Le verre est déposé devant eux, avant une indication du serveur qu’il est pour la jeune fille au regard déterminé. Toutes les têtes convergent en direction d’Adaline qui écarquillent les yeux sous la surprise. Le rouge lui monte aux joues alors que ses camarades commencent à la charrier. « Mais, je ne l’ai pas commandé. » Le serveur esquisse un sourire qui se veut sans doute rassurant, prétend que le verre lui est offert par quelqu’un qui souhaite rester inconnu. Adaline, elle se redresse sur sa chaise pour lancer un regard circulaire autour d’elle mais personne ne regard dans leur direction et elle ne peut que se renfrogner sur sa chaise. Le verre, elle le laisse intact pendant les dix premières minutes, bien déterminée à faire passer le message. Aucun homme ne peut se permettre de lui payer un verre, aucun homme ne peut se permettre d’avoir ce comportement vieux de plusieurs décennies. Mais après avoir enchaîné les cocktails, son esprit est embrumé par un voile lourd et épais et ses pensées ne sont plus aussi claires. Le shot de vodka est donc rapidement descendu pour laisser un filet de feu dans sa gorge. Elle lève les poings, victorieuse pendant que les cris de ses amis résonnent dans leur coin du bar. Les rires s’élèvent, se mélangent rapidement, le ton monte encore d’un cran par les effets de l’alcool et, finalement, le serveur revient vers eux avec le même petit sourire et dépose à nouveau un shot de vodka devant elle. « Non merci, dîtes à cette personne que c’est très gentil mais que tant qu’il ou elle refusera de donner son identité, je refuserai ses verres. » Le serveur, confus, s’éloigne pour revenir avec un sourire désolé. « Il dit que vous savez déjà qui il est. » Les sourcils d’Adaline se froncent, une migraine cognant contre ses tempes à cause de l’alcool. Il lui est difficile de former une pensée cohérente et alors qu’elle lance un regard à ses copains de fac, elle s’aperçoit qu’ils sont dans un état encore pire qu’elle. Les poings sur la table, les yeux rivés sur le verre plein devant elle, la jeune étudiante se concentre. Elle attend de voir un visage apparaître dans le liquide et ne réalise qu’après de longues minutes à fixer le verre que c’est inutile. Elle se redresse rapidement, la douleur venant cogner dans son crâne et lance un regard circulaire à l’ensemble du bar. Toujours aucune paire d’yeux tournée vers elle. Les lèvres pincées, les mains placées sur les hanches, elle fouille chacun d’eux, observe les tables. Et, finalement, s’arrête sur une table placée sous une des lampes, où est assis est un homme de quelques années son aîné. Elle ne sait pas pourquoi, mais son regard ne le quitte plus et au fond d’elle, Adaline sait qu’elle a raison. La démarche assurée mais ponctuée de zigzag, elle se dirige vers lui et s’installe en face. « Je crois qu’on ne se connaît pas, donc c’est gentil pour vos verres, mais je n’en veux plus, ok ? » Il relève un regard hagard vers elle et l’espace d’une seconde, elle se demande si elle a vraiment raison. « Excusez-moi ? » Il a la voix douce, les traits tirés par la surprise. « Les verres, que vous me faîtes parvenir… » Elle perd de son assurance et les brumes d’alcool qui font tanguer le sol n’est pas pour l’aider à se concentrer. « Je, hm… C’est vous, je le sais. Vous n’avez pas touché votre verre depuis… Depuis… » Elle descend les yeux sur son poignet sans monstre, les aiguilles sont floues et dédoublées. « Depuis cocktail moins-le-quart, ce qui fait un long moment quand même. Et en plus, vous n’avez lu que deux pages. » Elle n’est pas assez concentrée pour noter le petit sourire en coin qui apparaît brièvement sur les lèvres de l’homme, mais elle continue quand il le lui demande. « Vous touchez aussi votre annulaire gauche au niveau de votre bague. Vous n’avez probablement pas l’habitude d’en porter une mais comme il n’y a pas de madame, ou même de monsieur, qui vous accompagne, j’en déduis que vous n’êtes pas un nouveau marié. Donc votre alliance est fausse. » Elle a attrapé ladite main dans les siennes, ses yeux louchant sur ce cercle doré qui orne le doigt avant qu’elle ne soupire et ne secoue la tête. Elle ne sait plus ce qu’elle dit, ni ce qu’elle fait et elle sait qu’il ne suffira que de deux verres de plus avant qu’elle ne se mette à prendre tout le monde dans ses bras et à payer des tournées à l’ensemble de la clientèle du bar. « Bravo Mrs Tamzin, vous ne me décevez pas. » Elle acquiesce lentement avant d’attraper son verre – son code de carte de bleu, c’est quoi déjà ? Elle se fige soudain quand elle réalise les mots qui viennent d’être prononcés. « Pardon ? » Cette fois-ci, elle note son sourire et cette lueur amusée dans son regard. « Je voudrai vous parler de quelque chose et vous faire une proposition. Mais pour cela, vous devez me promettre de n’en parler à personne. » Adaline glousse nerveusement avant d’acquiescer trop vivement. « J’aurai tout oublié d’ici demain alors… Allez-y milord, vos secrets sont saufs avec moi. » Son rire résonne encore quand l’homme, sans perdre de sa lueur taquine au fond de ses yeux clairs, commence à parler.

Le pied effectue un cercle dans l’air avant de venir cogner son adversaire avec force et de l’envoyer sur le tapis de sol. Adaline reprend sa position de défense sans un regard pour le cadet des communications qui laisse un gémissement plaintif lui échapper. L’agent instructeur émet ses commentaires habituels – elle prend trop appuie sur son pied gauche, abuse du jiu-jitsu quand elle devait se montrer plus subtile et accepter de passer d’un art à un autre à chaque mouvement. Il passe ensuite à son adversaire et elle cesse d’écouter. A travers les plaques vitrées qui sépare la salle d’entraînement du couloir de l’académie, elle observe la silhouette qui s’approche et s’arrête derrière la porte et ne peut empêcher son sourire de s’esquisser malgré elle. « Doucement Tamzin, on pourrait croire tu t’attaches, » lui glisse Chess à l’oreille et elle ne le dément pas. Ses joues rosées, de toute façon, viennent affirmer son hypothèse. Peut-être qu’elle s’attache alors qu’elle ne le devrait pas. Wayne est plus vieux, affecté dans une équipe à laquelle elle ne pourra jamais prétendre et les relations avec un collègue, ça mène toujours à des problèmes, à des complications et elle n’en a pas besoin. Et puis, elle sait qu’il avait la réputation de s’intéresser aux femmes, elle se doute bien qu’il finira par lui échapper. Pourtant, quand il ouvre la porte et que leurs regards se croisent, son sourire s’élargit aussitôt et elle ne détourne la tête que pour récupérer ses affaires et se glisser dans le vestiaire. Elle l’aperçoit aller échanger quelques mots avec l’agent instructeur et son nom est prononcé. Elle se fige, tourne les talons et s’approche alors qu’ils terminent leur discussion. « Tamzin, il semblerait que vous soyez affectée à une mission. Mitchell vous briefera sur le chemin. » Elle opine du chef lentement et, accompagnée par Wayne, prend congé de celui qui lui enseigne les arts martiaux au sein de l’Académie. Dans le couloir, ils n’échangent pas de mots, à peine un regard, des doigts qui se frôlent avec tendresse. Elle rejoint l’équipe qu’il a réclamé dans l’une des salles de conférence, reconnaît son propre S.O qui lui adresse un sourire qu’elle lui rend, ainsi que deux cadets des sciences et techniques dont leurs visages seuls, lui sont familiers. C’est une nouvelle mission, et elle se doute, bien qu’il ne la regarde pas particulièrement, que les choses entre Wayne et elle risquent de changer.

Les choses ont mal tourné. Elle est blessée au niveau du flanc, une balle qu’elle n’a pas été capable d’éviter, une côte brisée. Il fait sombre, la rue n’est pas éclairée et son oreillette ne fonctionne plus depuis vingt minutes. Elle ne sait pas où Chess est passée, ni même si l’équipe d’extraction est en route et les rues dans cette satanée ville, semblent tout être les mêmes. La tête lui tourne et elle s’arrête une seconde au détour d’un carrefour, la main cherchant l’appuie contre le mur pendant qu’elle souffle et cherche de l’air. Ses inspirations se font plus longues, appuyées, et quand elle sent que le monde cesse de tanguer, elle se remet en route, oubliant la douleur qui irradie de ses blessures. Un regard par-dessus son épaule la rassure – elle n’a pas été suivie. Une ombre se dessine sur le sol alors qu’elle rejoint l’avenue principale et elle se glace. Son comportement a tout de suspect et elle en a conscience. Elle se redresse autant qu’elle le peut, se glisser dans un coin sombre en feignant l’ivresse exagérée, les nausées qui l’accompagnent. Une main se glisse à sa taille et elle se tend, immobile. « Putain je t’ai cherché partout. Faut qu’on se bouge, ils sont sur nos talons. L’équipe d’extraction a du retard, on va devoir aller dans l’appart de replis et ils arriveront demain matin à la première heure. » Ses épaules se relâchent quand elle reconnaît la voix de Chess, ses yeux se ferment sous le soulagement qu’elle s’efforce de ne pas souffler du bout des lèvres et elle laissa sa tête aller reposer contre son épaule rassurante et solide. La main de Chess se déplace pour aller attraper la sienne et elle le laisse le guider, la pression retombant un peu. « Allez viens, on peut pas rester ici. » Elle se blottie contre lui, simulant une relation intime tandis qu’ils s’éloignent pour aller rejoindre l’appartement témoin qui a été loué dans le cadre de leur mission. Elle perd ses repères, suit aveuglément son équipier de longue date dans les ruelles. Elle grimace quand il l’oblige à monter les escaliers, gémit sous la douleur quand il l’aide à prendre place sur le canapé. Adaline a l’impression d’avoir les yeux voilés, le souffle court. La brûlure dans ses côtes s’est intensifiée et elle sait qu’il n’est qu’une question de temps avant qu’elle ne s’effondre à cause de l’hémorragie. « Chess, » parvient-elle à marmonner non sans difficulté. Elle distingue sa silhouette vers l’un des meubles, qui fouille dans les tiroirs à la recherche de quoi l’aider à rester debout. « Chess, comment ils ont su… ? » Il fait un vacarme d’enfer en refermant les placards et se laisse tomber à côté d’elle. « J’en sais rien. J’en ai aucune putain d’idée mais putain, on n’est pas passé loin. » Elle acquiesce lentement, ferme les yeux et s’autorise une seconde de répit, une seconde de relâchement. « Merde, Tamzin, reste avec moi, ok ? Me fait pas ce coup-là, je refuse d’être celui qui va annoncer à ton mari que t’es plus de ce monde. » Sa voix est là, douce, si familière. Ce n’est pas la première fois qu’elle s’endort au son de sa voix et elle sait que ce n’est sans doute pas la dernière non plus. « Pense à Mitchell, Ada. » Et c’est le visage de Wayne qui s’imprime sur ses paupières closes et qui lui tire un fin sourire.

en vrac ;
en général, elle se fait surnommer ada ou line. ceux qui se risquent à lui trouver un autre surnom le font à leurs risques et péril. ☇ elle voulait se faire un tatouage à l'intérieur du bras à l'époque de la fac. elle y a finalement renoncé en intégrant le shield. tout signe distinctif pourrait le compromettre en cas d'infiltration, elle préfère ne pas prendre le risque. ☇ à l'adolescence, elle a choisi un style punk rock et c'était généralement vers ce style-là qu'elle se tournait pour les infiltrations à l'académie. elle prétend que ça lui correspond plutôt bien. en vérité, c'est surtout qu'elle a encore les tenues adéquats et que ça lui évite de devoir fouiller parmi les cartons mis à disposition par le shield. ☇ elle n'est pas très à l'aise avec les enfants mais ça ne l'empêche pas de vouloir fonder sa propre famille. c'est d'ailleurs parmi leurs projets, à son époux et à elle. ☇ c'est une férue de talk show et ses équipiers proches comme son mari se moquent souvent d'elle à ce propos. ☇ c'est une grande amatrice de littérature. c'est d'ailleurs de là qu'elle tire ses alias pour les infiltrations, entre les personnages et les auteurs célèbres.

pense-bête ;
- acheter du lait et des mouchoirs
- penser à enregistrer family guy
- offrir à chess son cadeau
- et lui mettre une baffe pour sa dernière blague
- passer au labo pour tester le nouveau pistolet
 
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